Ces enfants de Somalie ou bien d’ici,
qui n’ont plus que quelques heures à vivre sur cette terre,
que sont-ils venus nous dire dans cette trop brève vie,
sinon que de nous aimer à l’infini
et de cesser de chercher le bonheur
à l’extérieur de nous-mêmes?
Le temps d’un amour, d’un aveu,
le temps d’un sourire, d’être heureux,
comme tout s’espace, comme tout est grand,
comme une frêle seconde, perdue dans l’espace.
En amour,
l’espace et le temps, douces illusions.
Le temps d’être heureux,
l’espace et le temps n’y sont déjà plus.
L’espace d’un moment, d’une frêle seconde,
aurons-nous eu le temps de nous dire je t’aime
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